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Déclaration d’amour aux bandes originales de film, « Piano Paradiso » est aussi une ode au plaisir enfantin de jouer de la musique. A découvrir les lundis aux Déchargeurs (Ier) jusqu’au 17 décembre 2018.
Déclaration d’amour aux bandes originales de film, « Piano Paradiso » est aussi une ode au plaisir enfantin de jouer de la musique. A découvrir les lundis aux Déchargeurs (Ier) jusqu’au 17 décembre 2018.
Enfant, face à la rigueur autoritaire de sa professeur de piano, il était — précise t-il pendant le spectacle — plutôt du genre autodidacte, à improviser quelques variations jazzy à partir de mozart. Cheveu gris aujourd’hui, Alain Bernard est finalement resté ce gosse espiègle. Son nouvel seul en scène musical, Piano Paradiso, est autant une déclaration d’amour aux bandes originales de film (le fil rouge du spectacle) qu’au plaisir terriblement enfantin de jouer de la musique. De jouer tout court. Avec les notes comme avec les mots.
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L’ensemble, parfois un brin old school (réfractaires aux calembours, allez voir ailleurs), est généreux et enthousiaste à défaut d’être d’une finesse de dentellière. Passé par le piano bar, la musique de pub et le théâtre de Bouvard, Alain Bernard est un fantaisiste à la bonne humeur contagieuse.
NOTE DE LA REDACTION : 3/5
Source le Parisien
Article publié le mardi 20 novembre 2018